dimanche 26 août 2018

Rapport moral et d'activités 2017/2018

Introduction

Ce rapport moral 2017/2018 est un peu particulier dans la mesure où c'est le dernier que je présente après 4 années en tant que président du conseil local du lycée Fénelon (précédées d'une année en tant que secrétaire au bureau de l'association).

 

Actions menées en 2017/2018

Bien que moins mouvementée que l'année 2016/2017, l'année 2017/2018 fut tout de même bien remplie. Avec notamment un problème de stupéfiants difficile à gérer, en particulier pour les parents concernés.

  • Alerte sur la consommation de drogue au lycée. Malgré l'affirmation de la direction du lycée comme quoi le problème de stupéfiants au lycée n'a pas augmenté en 2017/2018, force est de constater, a minima, une concentration de consommateurs dans certaines classes avec un impact catastrophique sur les résultats scolaires. Notons que la seule réaction institutionnelle fut de s'indigner de la mauvaise publicité faite au lycée. Aucune des propositions d'intervention de spécialistes au lycée n'a été suivie d'effet. Nous n'avons pas constaté "l'opération coup de poing" dont il avait été question. Espérons que la réaction des parents aura tout même eu un impact et que les élèves seront du coup moins prompts en 2018/2019 à tomber dans les même pièges que leurs ainés.
  • Opération chocolats et caisse de solidarité "voyages". Nous avons maintenu l'opération chocolats cette année pour un succès inférieur à celui de l'année dernière. D'un autre coté, le bénéfice de cette opération sert à alimenter la caisse de solidarité pour les voyages scolaires. Cette année, aucune famille n'a souhaité en bénéficier. Nous avons eu quelques sollicitations pour demander si, comme l'autre association, nous subventionnons inconditionnellement les voyages scolaires. Ces sollicitations n'ont pas eu de suite après que nous ayons expliqué que nous pouvions participer aux frais pour les familles en difficulté financière.
  • Enquête sur l'utilisation des manuels scolaires. Il est souvent dit que les manuels scolaires ne sont pas utilisés : "je vous les raméne, je ne les ai jamais ouverts". Nous avons donc demandé aux enseignants s'ils utilisaient les manuels que nous distribuons. Je profite de ce rapport d'activité pour faire une synthèse des réponses très gentiment collectées par Mme Courtin, secrétaire de direction :
    • les manuels de mathématiques sont très utilisés à l'exception de celui de première ES (dommage, c'est un achat récent) ; 
    • les manuels d'histoire-géographie sont tous utilisés par au moins deux enseignants sauf le manuel de géographie de première qui n'est utilisé que par un enseignant (manuel qualifié de périmé), le manuel de terminale S n'est lui aussi utilisé que par un enseignant, quelques professeurs supplémentaires utilisent ces manuels mais seulement de manière ponctuelle ;
    • les manuels de sciences de la vie et de la terre sont utilisés par les enseignants sachant que ceux de première et de terminale S ne le sont que ponctuellement pour l'un des trois enseignants, le manuel de spécialité en terminale S n'est utilisé par aucun des deux enseignants concernés ;
    • contraste pour les langues vivantes : manuels non utilisés par les professeurs d'italien, autrefois utilisés par le professeur d'allemand, utilisés par deux enseignants d'espagnol, utilisés par le professeur d'arabe et il semble que j'ai égaré la réponse concernant l'anglais mais les différents manuels d'anglais sont régulièrement utilisés ;
    • oralement, un professeur de philosophie m'a indiqué que les manuels de philosophie n'étaient pas utilisés par les enseignants de cette discipline ;
    • pas de réponse pour le français, le latin, le grec, les sciences physiques et les sciences économiques et sociales, nous n'avons peut être pas bien expliqué qu'il ne s'agissait absolument pas de s'immiscer dans les choix pédagogiques des professeurs.
    En conclusion, il est donc très exagéré de dire que les manuels ne sont pas utilisés. D'autant plus que rien n'interdit à un élève d'avoir un second éclairage sur telle ou telle discipline au travers du manuel correspondant.
  • Réunions sur les réformes en prévision au lycée. En cette période de frénésie de réformes de l'instruction nationale, il semblait intéressant de faire le point sur les réformes avec un point de vue différent. Nous avons pu entendre la version officielle lors de la présentation de parcoursup organisé par le lycée en la présence de M. le recteur. En particulier notre secrétaire, Lotfi Bouhsina, était présent. En complément, deux réunions ont été organisées, une avec les professeurs, l'autre avec des parents. Voir le compte-rendu correspondant sur notre blog. A noter que certains parents ou professeurs ont eu l'impression que la critique portait sur le dispositif d'information de parcoursup. Il s'agit bien entendu d'un total contre-sens, ce dispositif existait déjà à l'époque de postbac et est effectivement efficace. Vouloir voir dans la critique d'une éducation marchande un retour au système éducatif du siècle dernier serait un peu hors-sujet. A noter que l'idée de ces réunions a été reprise dans d'autres conseils locaux.
  • Maintien de la possibilité de suivre deux options facultatives. Suite à des retours inquiétants sur des pressions faites aux élèves pour abandonner une option facultative, nous avons demandé à M. Berger, proviseur, un entretien pour savoir ce qu'il en était. Il semblerait que nous avions mal compris et nous avons reçu l'assurance que, pour les cas qui nous avaient été remontés, il serait possible de garder les deux options facultatives. Vous pouvez consulter à ce sujet cet article de notre blog qui a reçu l'approbation de M. Berger.

Ces actions sont généralement initiées et pilotées par des réunions "actions". Il s'en est tenu deux en 2017/2018 plus une réunion avec une longue intervention de M. Berger, proviseur :
A noter que l'implication des parents du conseil local dans les activités du lycée a un peu diminué.
  • L'implication dans le projet éco-lycée initié les années précédentes par Corinne Schakowski n'a pas été prolongée. Il faut dire que le projet éco-lycée qui était porté à bout de bras par Mme Millet, professeur de SVT, semble marquer le pas depuis le désengagement de cette dernière.
  • Cette année, Alexandre Béchir n'a pas pu s'investir comme elle l'avait fait dans la participation aux soutenances de stage des secondes. Merci à elle pour son implication des années précédentes.
  • Pour ma part, je continue à assister M. Dhaussy, professeur de mathématiques, pour l'option Informatique et Création Numérique en seconde et dans une moindre mesure en première. J'ai pu aussi assister Mme Quinque, professeur de mathématique, pour l'AP "robots MindStorm" en première.

 

Représentation dans les instances du lycée

Malgré d'importants efforts de l'ancienne présidente de l'association de parents liée à la PEEP pour gagner des voix, les résultats de l'élection des représentants des parents au conseil d'administration ont été assez stables avec 3 sièges sur 5 pour notre conseil local. Ce avec une participation très honorable pour ce type d'élection.

Notons cependant un infléchissement constant des votes pour le conseil local sur les dernière années. 


Je ne me suis pas proposé pour être tête de liste au CA pour faire place à de nouvelles bonnes volontés. En tant que suppléant au CA, il m'a cependant été possible d'être titulaire à la commission permanente.

 

Conseil d'administration et commission permanente

Les deux instances les plus importantes du lycée sont le CA, où se font les principaux votes, mais aussi la commission permanente qui peut précéder le CA et où les points à l'ordre du jour au CA sont discutés plus en profondeur, les membres de la CP étant moins nombreux que ceux du CA.


Vous trouverez ici des pointeurs sur les compte-rendus disponibles. A savoir, les comptes-rendus des commissions permanentes (même la première pour laquelle la direction s'est permise de changer l'horaire à la dernière minute) et les CA pour lesquels je suppléais un titulaire absent. A noter que nous n'avons pas toujours été en mesure d'occuper nos trois sièges pour cause d'événements de dernière minute. Nous prions nos électeurs de bien vouloir nous excuser pour ce manquement.

 

Conseil de vie lycéenne

Chaque conseil d'administration doit être précédé d'un Conseil des délégués de la Vie Lycéenne. Ces conseils permettent de faire entendre la voix des élèves. Le dernier CVL a été programmé en pleine période de bac, il n'est donc pas trop étonnant qu'aucun élève n'y ait assisté. Les trois CVL de l'année font l'objet d'un compte-rendu, ils sont assez courts car, du point de vue du parent d'élève, ils sont assez redondants avec la commission permanente.

 

Commission éducative et conseil de discipline

La direction du lycée ne réunit que très rarement la commission éducative ou le conseil de discipline. A noter que cette politique n'est pas toujours comprise par certains enseignants. Un certain relâchement dans la discipline des élèves pourrait en être la conséquence.

La commission éducative (dernier avertissement avant le conseil de discipline) s'est réunie le mardi 30 janvier à 16h pour examiner 4 cas de fraude au bac blanc. A priori notre secrétaire, Lotfi Bouhsina, était le seul représentant des parents. Au delà des avertissements (sanctions), le but était de sensibiliser les élèves aux peines encourues en cas de fraudes au bac officiel, dont l'interdiction de passer des examens pendant 5 ans.

Un conseil de discipline s'est tenu concernant un conflit avec dégradation entre un élève et un professeur. L'élève était clairement en tort mais les deux associations de parents sont intervenues pour plaider les circonstances atténuantes. Notre association était représentée dans le conseil de discipline par Cécile Casail, comme elle s'y était engagée en début d'année.

 

Autres instances

Aucune réunion du  comité d'hygiène et de sécurité ni même du comité d'éducation à la santé et à la citoyenneté. Dommage. Voir nos tentatives de lancer des initiatives à ce sujet les années précédentes.

 

Conseils de classes

Cette année a été testée une organisation décentralisée pour les conseils de classes, avec un responsable pour  chaque niveau. Le responsable s'est chargé d'animer et d'informer les volontaires pour son niveau. La récupération des listes d'élèves par classe, des listes de professeurs par classe et autres informations à fournir aux délégués pour les conseils de classes est restée centralisée pour ne pas déranger outre-mesure le secrétariat élèves du lycée.


Ce test est un succès et montre qu'il est possible à une association de parents de fonctionner avec une répartition des charges. Le seul point à améliorer, peut-être, est la remontée d'une synthèse pour effectuer un bilan. Bilan qui peut alors être présenté, pour information, au proviseur ou inclus dans un rapport d'activités.


Les horaires des conseils de classes étaient plus compatibles avec les contraintes des parents cette année qu'en 2016/2017 mais il reste difficile pour bon nombre d'entre nous, même motivés, de nous libérer à 16h00. En conséquence, il est possible que notre association n'ait pas été représentée dans quelques conseils ou que quelques comptes-rendus n'aient pas été rédigés. Voici les retours qui me sont parvenus :
  • pour les terminales, au troisième trimestre, la FCPE a été représentée à tous les conseils, un seul compte-rendu est manquant mais sur suggestion du président du conseil à savoir le proviseur-adjoint ;
  • pour les premières, et pour les trois trimestres, la FCPE a été représentée à 23 conseils sur les 24 qui se sont tenus, avec donc un raté pour la 1S3 au troisième trimestre. Concernant les comptes-rendus, le responsable n'a pas eut de retour pour 3 comptes-rendus sur les 23.

 

Bourse aux livres

Grand sujet que la bourse aux livres. Avec un recul de quelques 6 années de pratique, voici quelques réflexions sur le sujet : 
  • Les bourses aux livres sont des vaches à lait pour les fédérations d'associations de parents. Je parle bien ici des fédérations (FCPE départementale et nationale, PEEP départementale et nationale) même si la réflexion reste vraie au niveau des associations locales. Songez  donc que si une fédération peut compter sur quelques dizaines d'adhérents pour un collège, elle peut afficher quelques centaines d'adhérents pour un lycée dans une région ne gérant pas en direct la fourniture des manuels scolaires. Les parents sont en effet fortement incités à adhérer à une association pour obtenir les manuels à environ 1/5 du prix d'achat chez un libraire. Sachant que les conseils locaux FCPE reversent 10 euros pour chaque adhérent (9 euros me semble-t-il pour la PEEP) aux fédérations départementales et nationales, faites le compte ... 
  • Pour les associations locales, l'enjeu financier est aussi important. Si l'investissement d'achat des manuels est très lourd (une collection de manuels pour des secondes tourne autour de 350 euros par élève), la location (il ne faut pas dire location mais rémunération contre prêt) des manuels peut devenir rentable. En effet si une association s'endette pour certains niveaux, pour d'autres niveaux et séries le nombre de manuels peut être assez faible alors que la rémunération reste fixe. De plus, certaines associations sans concurrence peuvent considérablement augmenter leurs tarifs. Se constituent ainsi des cagnottes considérables permettant de financer des actions qui n'ont parfois plus grand chose à voir avec le rôle d'une association de parents. Je vous rassure, le conseil local FCPE du lycée Fénelon n'est pas dans cette situation, nous avons péniblement payé nos dettes et accumulé approximativement de quoi renouveler les collections pour une petite moitié des secondes
  • Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit, les bourses aux livres sont une réelle aide pour les parents, pas besoin de courir les libraires pour trouver la collection complète, mutualisation du coût des manuels, sans compter l'achat groupé de certaines fournitures comme les calculatrices. Le rôle des éditeurs dans l'histoire est loin d'être net. Je ne suis pas certain que le prix de ces manuels soit justifié vu le nombre d'exemplaires imprimés. Je suis certain que les manoeuvres actuelles des éditeurs concernant les bourses aux livres n'ont d'autres visées que leur chiffre d'affaire. Les éditeurs ont en effet lancé une offensive pour interdire la location des manuels scolaires par les associations de parents sous peine de poursuites judiciaires. Nous en sommes donc arrivés à jouer sur les mots en parlant de "prêt de manuels contre rétribution". C'est la même chose mais légalement ça passe... La réunion que nous avons organisé l'an passé sur les manuels scolaires numériques n'est pas plus en faveur des éditeurs. Un manuel numérique ne s'achète pas, comme pour la plupart des formats numériques, c'est juste un droit de jouissance temporaire, ici pour l'année scolaire. Pas de mutualisation des coûts possible avec des manuels scolaires numériques. Par ailleurs, un manuel scolaire numérique n'est pas mis à jour plus souvent qu'un manuel papier. Enfin, un lecteur est nécessaire pour les manuels numériques. Aucun des terminaux habituels, que ce soit téléphone portable, tablette ou PC n'arrive, pour l'instant, à la cheville de la solidité et de la praticité du papier. De nombreux établissements passés au numérique font marche arrière.
  • J'avoue ne pas avoir d'opinion arrêtée concernant la bourse aux livres. Il s'agit d'un dispositif très lourd demandant un investissement très important pour certains. Son utilité est contestée par certains élèves et certains parents. Combien de fois ai-je entendu "les manuels ne sont pas utilisés".  Le travail fourni est utilisé par les fédérations pour gonfler leur nombre d'adhérents et leurs revenus. Ce travail est rendu nécessaire par le désengagement de certaines régions, bafouant le droit à l'éducation gratuite, et par la rapacité des éditeurs. Tout cela est vrai, mais il n'en reste pas moins qu'il s'agit d'un service dont l'utilité envers les familles et les élèves n'est contestable qu'avec une bonne dose de mauvaise foi. L'idéal serait certainement une utilisation massive des documents Internet mis à disposition par l'ensemble des enseignants. Reste le problème de la mise à disposition de ces documents. Cela se fait actuellement par un recours massif à la photocopie dont le coût est à la charge de l'établissement.
La bourse aux livres 2017/2018 a été assez intense avec 12 sessions avant la rentrée de septembre 2017 et au moins autant de session les mercredi et les samedi après la rentrée pour traiter les paiements par carte HDF et les cas particuliers. Cela sans compter les sorties et entrées d'élèves en cours d'année. Ainsi, nous avons eu des entrées jusqu'aux vacances de printemps, ce qui est assez inhabituel. Notre nombre d'adhérents est en baisse par rapport aux années précédentes comme le montre le graphique ci-après.
Quelques explications sur ce graphique :
  • la colonne orange donne le nombre d'adhérents déclaré par le conseil local auprès de la FCPE 59 (multipliez par 10 pour avoir ce que le conseil local verse à la fédération) ;
  • la colonne violette donne un nombre d'adhérents virtuel qui serait celui d'un lycée Fénelon avec un effectif qui serait toujours de 800 élèves ;
  • le nombre d'adhérents déclaré est inférieur au nombre réel, certains adhérents ayant payé leur adhésion dans un autre établissement ;
  • le nombre d'adhérents est inférieur au nombre de jeux de manuels délivrés, certains parents ayant plusieurs enfants dans l'établissement.
Deux constatations à propos de ce graphique :
  • ce n'est que sur les 4 dernières années que le conseil local capte plus de la moitié des parents d'élèves, cela peut expliquer l'importance de la cagnotte de l'association PEEP (voir réflexions plus haut) ;
  • à partir de 2014/2015 un ré-équilibrage se fait en faveur de l'autre association qui utilise la cagnotte évoquée (quelle que soit son origine) pour attirer des adhérents (en 2015/2016, remboursement à 100% des voyages scolaires, en 2016/2017 remboursement à hauteur de 50% des voyages scolaires, en 2017/2018 remboursement à hauteur de 50% avec un maximum de 300 euros des voyages scolaires plus une clef USB).
Ce sera au nouveau bureau de décider de l'avenir de la bourse aux livres du conseil local FCPE. L'ancien bureau peut présenter un bilan financier permettant de continuer ce service. Les anciens responsables de la bourse aux livres prennent leurs responsabilités et continueront d'assurer le service jusqu'en juin 2018.

 

Organisation de l'association

Une association de parents peut être gérée par un petit nombre de parents mais dans ce cas la charge sur leurs épaules devient vite insupportable. Un autre type de fonctionnement consiste à impliquer de nombreux parents pour réduire l'investissement de chacun. Les schémas suivants proposent un tel type d'organisation.

Je ne me représenterai pas en 2018/2019, ni au bureau du conseil local FCPE du lycée Fénelon, ni sur la liste des candidats au conseil d'administration. Je continuerai par contre d'assister les professeurs du lycée en ICN et pour l'AP "robots". Je m'engage aussi à continuer à m'occuper de la bourse aux livres jusqu'en juin 2018, probablement avec l'aide de Francis Huck (que l'on devrait décorer de l'ordre du mérite des parents d'élève, vu les nombreuses d'heures qu'il a passé à nous aider même après que son fils ait quitté le lycée).

 

Structure du bureau

L'association de parents repose sur trois postes principaux : le trésorier, le secrétaire et le président. A noter que la nomination d'un président n'est pas nécessaire.



Le poste le plus important est celui du trésorier. Les rôles des président et secrétaire sont assez flous dans la plupart des associations de parents, mais c'est bien le secrétaire le plus important dans les textes. Dans le schéma, il est proposé de confier la supervision des moyens de communication (blog, courriel) à un secrétaire-adjoint pour soulager le secrétaire.

 

Structure pour les instances

Pour une association avec des charges de travail équilibrées, il est fortement conseillé de confier la représentation de l'association dans les instances du lycée à d'autres parents que ceux impliqués dans le bureau. Certes, cela limite la connaissance des dossiers pour les membres du bureau. Le bureau peut s'informer en lisant les comptes-rendus. Il est aussi possible d'envisager la présence d'un membre du bureau comme suppléant à la commission permanente, qui est probablement l'instance centrale au lycée Fénelon. L'actuel proviseur permet à deux membres des associations de parents d'assister à cette commission.


A noter que l'actuelle direction du lycée Fénelon utilise que très peu les instances de discipline. De même, les instances de sécurité (CHS et CESC) ne sont pratiquement jamais convoquées.

 

Structure pour les conseils de classe

Là encore, pour la survie du secrétaire et du président, il est conseillé de largement répartir l'organisation des conseils de classes. Pourquoi ne pas confier la tâche de supervision à un second secrétaire-adjoint ? Ce secrétaire-adjoint peut coordonner un responsable pour chaque niveau, ces derniers gérant les 8 conseils de classe du dit niveau. Cette organisation a été partiellement testée l'an dernier avec un certain succès.


 

Structure pour la bourse aux livres

Déjà, la bourse aux livres n'est pas une structure indispensable pour une association de parents, même dans un lycée où la région ne prend pas en charge la gestion des manuels scolaires. Si l'association souhaite continuer à en gérer une, il est conseillé d'en confier la charge à des parents qui ne sont impliqués ni dans le bureau, ni dans les instances du lycée, ni dans la coordination des conseils de classes. Il peut être aussi intéressant de trouver un trésorier-adjoint pour les manipulations avec la carte HDF de la région.
Les actuels responsables de la bourses aux livres se sont engagés à la gérer jusqu'en juin 2018.

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